Affiche du film "The Day The Earth Caught Fire", science-fiction culte de Val Guest (1961)

The Day The Earth Caught Fire, brûlant d’actualité

The Day The Earth Caught Fire (Le jour où la Terre prit feu) est un long métrage de science-fiction anglais réalisé en 1961 par Val Guest qui possède encore aujourd’hui une grande résonnance avec notre actualité, non pas pour son illustration des dangers du nucléaire, mais bien pour son approche d’une fin du monde imminente en raison du réchauffement de la planète. Un film culte à voir absolument. Continuer de lire The Day The Earth Caught Fire, brûlant d’actualité

Affiche française du drame "Evil Does Not Exist" (Le Mal n'existe pas) de Ryūsuke Hamaguchi (2023)

[Critique] Evil Does Not Exist de Ryusuke Hamaguchi

L’aura de mystère qui entoure le récit se pare de plans sublimes, de paysages remarquables et d’une trame musicale stratosphérique. Les comédiens touchants et justes, les touches d’humour sincère, le montage fluide et le rebondissement final imprévisible participent également au pouvoir d’attraction de ce film mélancolique, parfois amer, qui place la barre très haut dans son genre. Continuer de lire [Critique] Evil Does Not Exist de Ryusuke Hamaguchi

Affiche du drame français Le retour de Catherine Corsinin (2023)

[Critique] Le retour de Catherine Corsini

On reconnait dans Le retour la sensibilité de la réalisatrice et l’humanisme qu’elle porte sur des personnages complexes, qu’elle campe dans les juger dans leurs doutes et leurs peurs. Mais, malgré sa délicatesse, sa caméra à fleur de peau et le naturel attachant de ses interprètes, Corsini peine à convaincre pleinement, et reste un cran en dessous de ses succès les plus marquants. Continuer de lire [Critique] Le retour de Catherine Corsini

Mascha Rabben sur l'affiche du western néo noir culte Deadlock de Roland Klick (1970)

Deadlock (1970), entre western spaghetti et néo noir

Inclassable, captivant et de facture encore très contemporaine malgré ses 54 années au compteur, Deadlock est ma plus belle découverte cinématographique de l’année. Tourné par Roland Klick, cinéaste allemand maudit et ostracisé par ses pairs, cet objet devenu culte accumule dans ses courtes 88 minutes tant de références qu’il est bien difficile de désigner ce que c’est vraiment. Continuer de lire Deadlock (1970), entre western spaghetti et néo noir

Affiche de la chronique satirique "There's Always Vanilla" de George A. Romero (1971)

There’s Always Vanilla, George A. sans Romero

Inclassable, mélancolique et contestataire – notamment dans sa façon d’aborder le monde « normal » et les possibilités qu’il offre aux jeunes -, There’s Always Vanilla (aussi connu sous le titre The Affair) fut, comme dans bien des cas, longtemps considéré comme perdu. Il refait surface depuis quelques années à la faveur d’une réédition vidéo. Continuer de lire There’s Always Vanilla, George A. sans Romero