Flottant encore sur la vague du succès de « Point Blank », réalisé l’année précédente, John Boorman se rend en 1968 dans les petites îles de la Micronésie pour tourner « Hell in the Pacific ». Il y retrouve Lee Marvin et Toshirô Mifune, acteur fétiche de Kurosawa et sans doute la star japonaise la plus connue du public américain. Continuer de lire Toshirô Mifune dans "Hell in the Pacific" de John Boorman
« The Travelling Executioner » a été tourné à Montgomery en Alabama pendant cinq semaines, à compter du 18 février 1970. Autrefois pénitencier à sécurité maximale, la prison de Kilby avait été louée par la MGM pour 5 000 $, et puisqu’elle devait être démolie pendant l’été, les producteurs furent autorisés à faire exploser l’un de ses bâtiments pour les besoins du film. Continuer de lire Bud Cort dans "The Travelling Executioner" de Jack Smight
Popularisée en 1978 grâce à son incarnation de Loïs Lane dans « Superman », Margot Kidder obtenait dans « Sisters » (« Soeurs de sang », 1973) son premier grand rôle. Bipolaire, la Canadienne a lutté contre la maladie pendant de nombreuses années avant de se donner la mort en 2018. Continuer de lire Margot Kidder dans "Sisters" de Brian de Palma
Empruntant le chemin de la tragédie antique, « High Noon » a été réalisé pendant la sombre période de la chasse aux sorcières qui secoua les États-Unis au début des années 1950. Écrit par Carl Foreman, lui-même stigmatisé par les anti-communistes, le film se voit comme une métaphore de la lâcheté de tout un peuple face à ce qui est en train de se passer sous leurs yeux. Continuer de lire Grace Kelly dans "High Noon" de Fred Zinnemann
« Seconds » a fait ses débuts au Festival international du film de Cannes le 16 mai 1966, sous les risées de la presse et l’indifférence du public. De retour au pays, le film n’eut guère plus de chance et a vite sombré dans l’oubli jusqu’à ce que le temps lui accorde l’importance qu’il mérite. Continuer de lire Rock Husdon dans "Seconds" de John Frankenheimer
En 1963, quand Steve McQueen faisait du gringue à la belle Natalie Wood, cela donnait « Love With The Proper Stranger » (« Une certaine rencontre »), une romance au charme fou, immédiatement attachante. Continuer de lire Natalie Wood dans "Love With The Proper Stranger" de Robert Mulligan
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